Des années lumières durant, les fans de Years & Years ont attendu l’album qui devait réunir les singles les plus populaires du groupe. La bande à Olly Alexander (acteur à ses heures perdues – oui, le stalker de Cassie dans Skins, c’est lui) s’était principalement illustrée avec le tube « King » (« Aaah c’est eux qui chantent ça! » – Oui. De rien.) suivi du magnifique « Take Shelter » (avec Emily Browning en guest star).
Concernant l’album Communion (disponible sur iTunes ici )
« Foundation » démarre en crescendo, annonce le ton électro-pop du groupe. Le morceau « Real » nous laisse apprécier les talents vocalistes du chanteur, pour ensuite laisser la place au single précédant la sortie de l’album, « Shine » . Une douce surprise nous attend entre les deux morceaux inédits « Worship » et « Ties » : « Eyes Shut » , ballade nostalgique qui atteint son apogée en live ( Years & Years étant un groupe britannique, ils n’échappent pas à la règle « On est meilleur en live » ) ;
L’album enchaîne sur « Desire » , une ode érotique aux notes électro et rythme R’n’b, suivi de « Gold » , « Without » (également influencé par le R’n’b) et « Border » (au chorus légèrement répétitif) pour finalement se terminer sur « Memo » , morceau connu et reconnu par les fans.
On regrettera l’absence de « Breathe » (mais disponible dans l’édition Double Deluxe), cover sublime de Blu Cantrell ft. Sean Paul , ainsi que « The Whale » , musique moins bien connue à l’ambiance mélancolique (bande-son du film The Dish and The Spoon avec comme acteur principal… Olly Alexander).
Étudiante en droit dont la vie est vouée à la marginalisation. Et aux Beatles. Et aux contradictions.