Dans Mosaïque, La Vague Parallèle explore les multiples aspects et facettes cachés de ses artistes favoris pour en dresser un portrait original, esquissé à petites touches. Aujourd’hui, on prend l’arrêt Metro Verlaine à la recherche des fantômes et des héros de Manchester, ceux qui portent du velours noir pendant leur ballade sauvage. Bienvenue dans la mosaïque de Metro Verlaine.
Un.e artiste ou une chanson qui vous a donné envie de faire de la musique ?
The Cure – Boys Don’t Cry.
Un morceau qui vous rappelle votre enfance ?
The Cure – Lullaby.
Un morceau qui représente votre personnalité ?
Alain Bashung – La Nuit Je Mens.
Un morceau qui représente votre esthétique ?
Joy Division – Love Will Tear Us Apart.
Un morceau que vous écoutez en tournée ?
Shame – One Rizla.
Un morceau récent que vous auriez voulu écrire ?
Fontaines DC – Boys in the better land.
Un morceau que vous écoutez en cachette ?
Billy Idol – Eyes without a face.
Un morceau qui vous rend heureux ?
King Krule – easy easy.
Un artiste avec qui vous
voudriez collaborer ?
Robert Smith / The Cure
Une chanson figée dans votre esprit comme un polaroid ?
Crocodiles – Telepathic Lover.
Une chanson qui représente Manchester ?
The Smiths – There is a light that never goes out.
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Une chanson qui vous tire des larmes de crocodiles ?
Nina Simone – Ain’t got no.
Une chanson pour
surfer la vague ?
Suicide – Ghost Rider.
Une chanson douce comme du velours noir ?
Lou Reed – Perfect Day.
Une chanson pour se lancer dans une ballade sauvage ?
Grand Blanc – Belleville.
Futur maître du monde en formation.
En attendant, chevalier servant de la pop francophone.