Cher·es lecteur·ices,
Nous vous l’apprenons peut-être, mais cela fait dix ans que La Vague Parallèle existe. Dix ans qu’elle fait vibrer vos rétines quand vous appréciez les articles ou les photographies qui vous parlent de personnes, de lieux et d’émotions.
Et récemment, nous avons reçu une belle proposition de la part d’une des salles les plus emblématiques de la capitale : vous pouvez le deviner avec le titre, nous organisons notre première exposition au Botanique ! On aime les accidents et les imprévus, les rencontres et les retrouvailles mais nous ne nous attendions sûrement pas à ça. C’est avec joie que nous avons accepté de relever le défi qui nous a été lancé début mars de cette année : comment « mettre en scène » des sensations de concerts, aussi vaporeuses qu’une odeur et aussi fortes que des notes de musique ?
Parlons pratique. Quand et pour qui ? D’abord un vernissage de l’exposition en sons et lumières, ouvert et gratuit pour toustes, le 14 mai de 18h à 21h. Une soirée d’ouverture pleine de surprises et de découvertes, qui résonnera aux sons de Coline Cornelis qui viendra réveiller nos corps avec ses compositions organiques.
Ensuite, l’exposition sera disponible pendant Les Nuits Botanique du 15 au 25 mai, à condition de détenir un ticket de concert. Où ? Dans la salle d’exposition de la Galerie, à l’étage du Botanique. Quoi ? Une sélection de photographies et d’extraits de textes issus des live report que notre équipe de bénévoles a retranscrits tout au long de sa collaboration avec le Botanique. Avec qui ? Nous avons, une fois encore, demandé l’aide de l’artiste pluridisciplinaire Coline Cornelis qui a su transmuter (à la manière d’une alchimiste) nos idées pour les ériger en trois dimensions : en objets, en lumières, en matières, en sons… Pourquoi ? Pour vous montrer à quel point sortir, écouter, rencontrer, danser, échanger, ressentir… bref faire la teuf est éminemment nécessaire.
Hâte de vous y voir !
L’équipe de La Vague Parallèle
| Photo : Melissa Fauve
| Affiche et graphisme : Florence Bodson
C’est comme les Power Rangers, parfois on unit nos pouvoirs pour faire de plus grandes choses.