how bad could it be : dernier single avant l’album pour Kids With Buns
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Auteur·ice : Hugo Payen
05/09/2023

how bad could it be : dernier single avant l’album pour Kids With Buns

| Photos : Isaac Ponseele

À quelques semaines de la sortie (très attendue) de leur premier album, Kids With Buns a décidé de nous régaler une dernière fois avec how bad could it be, un morceau des plus spéciaux pour le duo belge au futur indéniablement prometteur.

Après avoir touré tout l’été dans quelques-uns des plus beaux festivals d’Europe (Pukklepop, Campo Solar, Down The Rabbit Hole, voire même le Reeperbahn fin septembre), Amber et Marie nous reviennent en cette fin d’été avec un quatrième morceau tant personnel que romantique. De quoi remettre un peu de piment à cette attente – non pas insoutenable mais presque.

Depuis la sortie en 2020 de leur premier EP, waiting room, plus rien n’arrête les deux artistes belges. D’une écriture en solitaire entre les quatre murs d’une petite chambre d’ado aux premières grandes scènes du pays et premières radio nationales, on peut dire que la sauce Kids With Buns prend assez bien. Et elle a de quoi. Des textes forts survolés par un savant mélange de calme et d’agitation, impossible de ne pas succomber.

À propos de how bad could it be, le duo explique : « ce morceau raconte le moment où l’on tombe amoureux·euse de son ou sa meilleur·e ami·e d’école – ce qui dans notre cas, a été la première fois que l’on tombait amoureuse d’une fille. How bad could it be parle de ce tourbillon d’émotions, de toute l’anxiété qui les accompagne et de la peur d’être jugée par les autres ». Des sentiments forts qui prennent ainsi vie sous l’oeil touchant de la talentueuse Cato Kusters venue raconter sa vision de cette queer love story.

En attendant de lire nos quelques paragraphes sur cet album qui s’annonce déjà plus qu’explosif, on vous laisse profiter de ce nouveau single plein d’émotions et de mots précieux. Puis si l’envie vous prend, continuez sur votre lancée et mettez-vous quelques-uns de leurs (déjà) classiques dans les oreilles. Qu’il s’agisse de 1712, bad grades ou des petits derniers clutter et daughter, il y a de quoi faire. On se donne donc rendez-vous très rapidement pour la suite et surtout le 7 décembre prochain pour leur passage à l’Ancienne Belgique.

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